
Mélancolie Nationale
Octobre… Je sors au métro Olympiades. Mes vacances ne m’imposent aucun but précis. Entre les rues de Tolbiac et Nationale, mon coeur balance. J’opte pour la seconde. Durant cinq cent mètres, je ne cesserai de me demander pourquoi. Existe t’il un endroit plus triste que cette nouvelle rue Nationale ? Vidée de sa substance, cette voie autrefois si commerçante n’est plus …